Seulement, comme j'ai déjà réussi un pondre un truc pas trop dégueulasse à son sujet, j'vais faire comme pour mon article sur LANA DE REY (qui est de très loin, le plus consulté de ma propriété 2.0), recracher ma chronique U Got A Wish ici-même. Et non, c'est pas de la triche, juste une judicieuse utilisation de mes droits d'auteur.
Azealia Banks, c’est un beau bébé issu du métissage electro/rap, né à Harlem, NYC, il y a 20 ans. Seulement.
Elle apprend à marcher à La Guardia High School Of Performing Arts et bafouille ses premiers rap à 16 ans.
Enfant précoce, Azealia n’a que 17 ans lorsqu’elle sort son premier morceau intitulé « Seventeen ». Instantanément, les labels tombent amoureux d’elle et la courtisent. La belle a des yeux de biche et une voix douce mais la tête dure. Elle ne se laisse pas happer par le chant des sirènes et continue de balancer son rap fougueux sur le web et dans la rue. Avec « L8R », Azealia dégaine les rimes avec aisance.
Créative et ayant plus d’une corde à son arc, elle reprend « Slow Hands », d’Interpol, avec beaucoup, BEAUCOUP de talent.
Major Lazer vient la prendre par la main pour collaborer avec eux à l’instar de Nike qui la place à plusieurs reprises dans sa série de vidéos « Nike Sportswear 1Love ».
De ses dents bien blanches, Azealia sourit à un parcours déjà prometteur semé de pépites comme celle concoctée avec Lunice (jeune producteur montréalais réputé pour ses instru sensas’), intitulée « Runnin’ », dans laquelle tu cours après son rap.
Et puis il y a « 212 », son dernier morceau taillé pour le succès (et pour shaker du booty). Azealia vient poser son rap sans équivoque sur une instru de Lazy Jay. Rap salace, pause douce, reprise furieuse, voilà « 212 ».
Azealia est en pleine croissance, le meilleur reste donc à venir.
KISSLOVEPEACEDANSTONCOEURCHAUD.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire