samedi 29 janvier 2011

Free.

J'suis enfin free mais j'ai pas tout compris, on fera donc l'impasse sur le sujet si douloureux que sont les partiels.

PARTIELS TIME: FINITO.

J'peux donc enfin m'adonner, en toute liberté aux diverses joies de la vie.
Ca commence, bien sûr par du shopping, encore quelques bonnes trouvailles, je m'étais déjà dit  la dernière fois que je devais arrêter les frais mais j'suis très faible devant une bonne affaire et un jean parfait.
En même temps, si les soldes durent 5 semaines, ce n'est pas pour n'y aller qu'une fois, on est d'accord hein?

Mais surtout, je savoure désormais ma récente liberté pour sortir, SORTIR. Après cette espèce de période d'hibernation forcée, c'est un peu comme si je réssuscitais. ALLELUIA.

Avec une de mes meilleures amies qui s'avère être en droit avec moi, on a commencé à instaurer une sorte de nouveau rituel: LA soirée post-partiels. C'est notre façon de kiffer la vie à nouveau.

Et pour cette soirée post-partiels, programmée bien bien en avance (sublime prévente accrochée juste au-dessus de mon ordi, ça n'aide pas à se concentrer), on a fait un très bon choix, en même temps, on a tapé dans la valeur sûre: Brodinski.

Oui, je sais, lui j'arrête pas d'en  parler, le présent article pourrait presque s'apparenter à une récidive mais là c'était pas une soirée comme les autres.

Hier, c'était Brodinski, all night long au Point Ephémère. ALL NIGHT LONG. C'est un peu comme si je chantais la vie à la simple vue de ce "all night long".

Alors bon, cette fois, pas de reportage vidéo, trop de monde, salle trop enfumée, j'ai décidé de refouler la paparazzi qui sommeille en moi (bon, ok, juste une courte vidéo prise avec l'Iphone pas franchement exploitable mais c'était surtout histoire d'avoir un souvenir et pour pouvoir donner un aperçu de l'ambiance à une amie qui n'a pas pu venir, because encore les partiels pour elle, paix à son âme).

Pour résumer tout de même: musique au top, on a eu le droit au côté guetto de Brodinski à base de Rap US, il a swagé la première partie de la soirée, qui, je dois l'avouer, à ma plus grande surprise, a eu bien du mal à décoller.
Du hip-hop US (avec des titres qui m'ont rappelé avec nostalgie mes années lycée voire collège, MERCI BRODI!), c'est très bon à écouter, mais étant sobre, j'ai eu beaucoup de mal à extérioriser la putasse américaine qui pourrait être en moi. Je n'ai donc pas shaké mon booty à outrance sur cette phase, j'ai attendu avec impatience qu'il passe à la phase électro.
Hip-hop/électro.. ça m'a tout de suite fait penser à Best Of Everything vol.1.
J'ai réellement apprécié de voir Brodinski passer du hip-hop, on sent qu'il s'est fait plaisir et puis surtout, c'est une version dont on a moins l'habitude, j'aime bien.
Parmi les phrases étranges de la soirée: une fille, qui avait plutôt l'air fan de Brodinski ou en tout cas, pas comme d'autres, qui savait qui il était, demande: "Mais, euh, il arrive quand Brodinski?"... Meuf, C'EST Brodinski.

Phase électro à peine entamée que la foule rapplique illico.
Et là, on passe direct à la bousculade, au couple dégueu en train de se bouffer la bouche juste devant toi (et parce que t'es littéralement plaquée contre eux, tu pries pour qu'ils cessent tout de suite ou qu'ils se cassent), à la main au cul gratos, aux mains baladeuses façon fouille corporelle, aux gros lourds, aux gros lourds avec 3g dans le sang, aux verres gratuits (malheureusement, sur les vêtements, pas dans le gosier), aux pieds tueurs et à l'impression d'être en permanence dans le chemin (où que tu te trouves).

Alors, voilà, si la soirée était dans l'ensemble très très bonne, le seul bémol réside dans la populasse présente.
Honnêtement, trop de mecs en chien et ça c'est chiant. Avec la désagréable impression qu'ils étaient presque tous en chasse.
C'est d'ailleurs, en partie pour ça que j'aime tant le Social, parce qu'en général, des mecs comme ça y'en a  pas, du moins  pas autant, tu sens que les gens viennent pour la musique pas pour autre chose.

D'ailleurs, en parlant de Social, j'ai raté du lourd hier (mais j'ai aussi vu du lourd alors bon..): Sound Pellegrino vs Night Slugs.
Je déteste quand ça fait ça, (ça me rappelle quand ça fait pareil pour la télé où habituellement y'a jamais rien et là, d'un coup y'a trois trucs que t'aimerais matter mais qui passent en même temps). DILEMME.
La prévente pour Brodinski étant déjà achetée, le choix était vite fait.
Bref, hier n'était que la première soirée (et non des moindres donc) d'une longue série, parce que finalement, même si janvier était très bon et que j'ai tout manqué, février, c'est aussi de la bombe, mon agenda est grassement rempli (à l'inverse de mon compte en banque).

J'me contenterai donc de vous laisser avec un coup de coeur musical, que Brodinski a d'ailleurs passé hier (merci merci merci) en attendant d'actualiser avec une éventuelle vidéo puisque la soirée était filmée.




2 commentaires:

Anonyme a dit…

La soirée post-partiels, le reconfort indispensable, le renouveau de l'âme :)

Floriane a dit…

C'est exactement ça! :)